Communic'Action

Nos solutions

Pour que les communications en santé publique soient accessibles à plus de personnes :

Nous avons pensé à plusieurs solutions possibles.
Nous avons réfléchi à chacune des solutions.
Nous avons choisi les cinq qui semblaient les meilleures.

Des solutions au niveau de la formation :

1. Créer et rendre disponibles des formations continues en ligne pour toutes les personnes concernées.

Pourquoi?

C’est ouvert à tout le monde.
Ça peut se faire dans plusieurs formats.
Ça pourrait servir à la formation des professionnels de la santé (voir solution 5).

2. Intégrer la littératie en santé et le langage clair dans un cours d’université en communication.

Pourquoi?

C’est la seule façon de sensibiliser les futurs professionnels.
Ça pourrait dépasser le domaine de la santé et rejoindre tous les professionnels des communications publiques.

Des solutions au niveau politique :

3. Créer un centre québécois d’expertise en langage clair.

Pourquoi?

Ça répond à beaucoup de problèmes mentionnés par les professionnels de la santé (voir ici).
Ça contribue à toutes les autres solutions.
Ça joue un rôle de leadership et de chien de garde pour les organismes publics.
Ça rassemble les ressources et ça crée de nouvelles ressources.
Ça pourrait dépasser le domaine de la santé.

4. Élaborer une loi sur l’accessibilité des communications publiques ou une politique provinciale de communications claires.

Pourquoi?

Ça pourrait avoir un grand impact.
C’est quelque chose qui se développe dans d’autres pays. 
Le Québec est un peu en retard.
Ça pourrait dépasser le domaine de la santé et rejoindre toutes les communications du gouvernement.

Une solution au niveau des pratiques :

5. Mettre sur pied un projet pilote pour que différents CIUSSS/CISSS du Québec deviennent des organisations pro-littératie. 

Pour devenir un organisme pro-littératie, il faudrait :

  1. sensibiliser tous les professionnels,
  2. des comités ou des fonctionnements sur la littératie (par exemple un comité pour réviser les documents)
  3. faire évaluer des communications par les personnes qui ont une faible littératie.

Pourquoi?

Ça répond à TOUS les obstacles mentionnés par les professionnels (voir ici).

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